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wiki.lowtechlab.org : lecture écriture d'une communauté* en construction autour du partage des savoirs "lowtech"

Introduction

Cette présentation s’inscrit dans mes recherches passées et actuelles liées aux espaces tangibles et numériques de mutualisation de ressources. Elle prend pour objet d’étude wiki.lowtechlab.org, l’espace wiki de l’association française low-tech Lab qui vise à promouvoir et sensibiliser les démarches dites lowtech, qu’elle qualifie comme :

« des objets, des systèmes, des techniques, des services, des savoir-faire, des pratiques, des modes de vie et même des courants de pensée, qui intègrent la technologie selon trois grands principes : Utile. Accessible. Durable ». Initié en 2014, Low-tech Lab constitue l’un des acteurs majeurs autour de la low-tech en France et cultive un rapport ambigu à cette dernière. S’il s’agissait initialement de promouvoir le Do-It-Yourself, l’association travaille également avec plusieurs grandes entreprises autour de « l’innovation low-tech ».

Le wiki du lowtech-lab est présenté comme un outil de l’association qui vise à collecter des tutoriels de prototypes d’objets et de systèmes bricolés dans le but de rassembler une communauté de citoyen·nes désireuse de gagner en autonomie. Dès lors, comment le partage et la centralisation de pratiques dites lowtech via le wiki contribue-il à la fabrication d’une communauté éparpillée autour des questions « d’autonomie et de résilience » ?

Étape 1 : What I Know Is : voici ce que je sais

Le wiki est un système de gestion de contenu collaboratif mis en place par Ward Cunningham en 1995 visant à faciliter la communication entre les développeurs de logiciels. L’idée étant de proposer un espace de partage et de mutualisation de réflexions permettant aux contributeur·ices de lire et d’écrire des pages en recourant aux liens hypertextes. En rupture aux modes de publications statiques, le wiki incarne un dispositif éditorial issu du web 2.0, aussi qualifié de web social, né au début des années 2000, caractérisé par la forte participation des internautes qui s’approprient les technologies web dans la création et la publication de contenu. En trente ans, le wiki en tant que système de gestion de contenu, dont le plus connu est mediawiki (popularisé par wikipedia), est non seulement fréquemment utilisé par de nombreux groupes de tous bords, mais il semble avoir diffusé l’imaginaire de l’édition et de la publication collaborative sur le web. Ward Cunningham, développant sa première forme WikiWikiWeb, partage publiquement le code de son logiciel qui se voit utilisé, copié, modifié et redistribué par les développeurs de la communauté foss (free and open source software). Si les différents logiciels wiki sont libres : l’ouverture du code source accroissant sa diffusion s’accompagne d’un brouillage des frontières entre producteur·ice et consommateur·ice.

Le wikilowtechlab.org fonctionne avec le logiciel Dokit, qui repose entre autre sur le logiciel open-source Mediawiki. Le code de Dokit est accessible sur Github mais les entreprises auxquelles le logiciel se destine sont orientées vers des formules d’abonnements, louant un espace de stockage sur les serveurs d’ovh.

« Dokit est une plateforme collaborative qui permet à toute entreprise de partager des instructions, des manuels ou des bonnes pratiques de manière intuitive et visuelle. » Dans le cadre de cette recherche autour de wiki visant le partage de « savoirs » c’est-à-dire de savoirs en train de se faire, le wiki n’est pas seulement appréhendé comme un espace d’écriture collaborative, mais plutôt comme un fond de ressources communautaire.

Étape 2 : outiller une communauté de savoirs

De quelle communauté parle-t-on ? Ou plutôt qui la constitue ? Et à qui le wiki s’adresse-t-il ? Le wiki du low-tech Lab fonctionne par :

la réunion « d’un groupe d’individus autour d’un intérêt commun et engagés dans la production d’un corpus de « ressources », de documents et discours1 ». Sur le wiki se partagent des pratiques de construction, de bricolage, de hacking, de cuisine, expériencées par les contributeur·ices qui mettent à profit leurs compétences techniques au service des visiteur·euses. Cette « mise en commun d’expertises et de connaissances » constitue une « communauté de savoir » qui se forme à partir d’une « communauté de pratique » entendue comme :

« un groupe auto-organisé, d’individus partageant le même centre d’intérêt et qui, par des interactions régulières, développent des pratiques et des expertises partagées2».

L’espace de commentaire devient ainsi le pivot permettant aux lecteur·ices d’échanger avec les contributeur·ices.

Cela se traduit par un message mentionnant que :

« Si vous avez utilisé un tutoriel de la plateforme pour construire un système, merci d’utiliser le bouton “Je l’ai fait” et d’utiliser la section “Commentaires” pour partager vos adaptations. Ces retours sont très précieux pour la communauté ». Le wiki du low-tech Lab peut-être appréhendé par le concept de « communauté de savoir » pour saisir comment se forme une communauté autour d’un intérêt convoquant un processus de partage et de production de connaissances. Mais de quel intérêt commun et de quels savoirs s’agit-il ?

L’onglet « Groupes » du site affiche les différentes communautés locales, présentes en France, au Quebec, aux États-unis, au Cameroun, au Sénégal, et au Maroc. Si il semble difficile de ne pas faire de lien entre ces trois derniers pays et l’empire colonial français, ces groupes n’ont pas publié de tutoriels à ce jour. Le site rassemble des personnes inscrites dans des contextes géographiques, sociaux et politiques différents ce qui signifie aussi une diversité de contraintes. En France, les low-tech se diffusent sous une pensée écologique accordant le privilège de choisir ses contraintes :

« La diffusion de la low-tech [y] peine encore à trouver sa composante populaire alors que les pratiques mises en valeur sont très proches des cultures du bricolage liées au monde ouvrier ou aux foyers à faibles revenus.3 » D’après les contributeur·ices qui mentionnent leur identité dans leur bio, on constate un très grand nombre d’ingénieurs en quête de sens.

« Guillaume, Je suis développeur de logiciels en tous genre (...) Je mène une transformation pour me diriger vers des projets low-tech. »

« Charly, Ingénieur en mécanique en quête de sens, triathlete amateur à mes heures perdues. »

« Ninon, une nana que des facilités pour les chiffres poussera vers des études puis une carrière scientifique, orientées “énergie” mais qui en "grandissant" a décidé de changer de vie pour se lancer dans l’artisanat français, local et solidaire avec l’envie de participer au changement à son échelle. »

Pas étonnant donc de remarquer une présence d’avantage masculine sur le wiki étant donné le faible pourcentage féminin dans les filières d’ingénieur·es. Sur les 100 derniers tutoriels modifiés, 19 ont été crées par des femmes, dont 12 par la même autrice, contre 29 rédigés par des hommes. Si ils se rangent tous deux majoritairement sous la catégorie alimentation, les premiers recouvrent davantage les thématiques de santé et d’hygiène, tandis que les seconds ciblent plus généralement l’énergie et l’habitat. Cette étude sommaire relative au genre soulève tout de même quelques questions ; qui se sent légitime à rédiger des tutoriels, qui en a le temps, quelles sont les motivations, et quelles visions de l’autonomie cela traduit-il ? Les 46 autres contributions proviennent de groupes locaux du low-tech lab ou d’autres associations dont on ne connaît pas la composition. Les tutoriels les plus aimés et les plus « faits » sont quasiment exclusivement publiés par le low-tech Lab. Pourquoi ? Leurs tutoriels ont été les premiers téléversés, ils sont clairs, très documentés, comprenant différents média, traduits dans plusieurs langues, et bien maintenus, geste essentiel aux systèmes low-tech4. Ce « succès » qui nécessite un temps conséquent d’investissement interroge quant à la rémunération des membres de l’association. Vis-à-vis des contributeur·ices, le wiki semble tisser des liens entre différents groupes locaux plutôt qu’entre individus isolés. Malgré son ouverture, la contribution semble se heurter aux inégalités économiques, de genre, de classe et d’occupation de l’espace numérique à l’échelle nord sud. Pour comprendre le fonctionnement de la communauté, attardons nous sur ce qui se partage ainsi que la façon dont les choses sont partagées, plutôt que sur l’intérêt commun. (Millerand,Heaton, Proulx, 2011)

Étape 2 : Tutorialiser la réalisation des low-tech

Le wiki du lowtech Lab repose sur le partage de la documentation en pair à pair des processus de fabrication des objets. L'acte de documenter suppose un engagement de la part des contributeur·ices qui exige de détailler les étapes, les outils, les matériaux nécessaires aux différentes constructions, le tout rédigé dans un langage aisément compréhensible par celleux désirant s'essayer à leur tour à la fabrication. Le wiki, par ses caractéristiques techniques, favorise ainsi la réciprocité entre les lecteur·ices/contributeur·ices, dynamique inhérente aux logiques de don et de contre-don, propice au développement d’une communauté5.

Le mode de documentation utilisé est le tutoriel qui consiste en une suite d’instructions permettant d’atteindre un objectif de manière autonome. Ces tutoriels fonctionnent sur le modèle du mode d’emploi en y intégrant un fonctionnement interactionnel :

« les internautes peuvent commenter les tutoriels, faire des suggestions pour les améliorer, voir même participer à leur production, traduction et/ou diffusion6. Un tutoriel sur une low tech doit véhiculer un objet non standardisé, malléable et ajustable. Il doit fournir une « description » afin de pouvoir construire une technologie, sans toutefois faire une « prescription » trop stricte.» Pour contribuer, il est conseillé de suivre le « Tuto des tutos » d’une durée de lecture de 20 minutes, disponible uniquement en français, anglais et espagnol, qui prescrit les manières d’ajouter un nouveau tutoriel. Cette tutorialisation de réalisation individuées s’inscrit dans la culture du DIY qui va de pair avec celle d’un « individualisme connecté ». Politisé par la sous-culture punk dans les années 70 :

« le succès du mouvement DIY a des déterminants techniques mais aussi culturels. Il a ainsi produit des outils libres, mais il s’incarne également dans des discours, des évènements et des lieux spécifiques, où se déploient des formes de sociabilité organisées autour de la volonté de démocratiser les savoir-faire techniques.7 »

Étape 3 : Utiliser l’open source pour cosmo-localiser les systèmes low-tech

Le low-tech Lab se place dans la lignée du mouvement open-source en en faisant un de ses principes d’action :

« Parce que l’intelligence commune doit revenir au commun, parce que chacun doit pouvoir accéder à ces solutions et parce qu’il est nécessaire et urgent d’encourager l’innovation incrémentale, le fruit des actions est partagé de manière libre sous des licences Creative Commons ».

L’open source découle des logiciels libres qui en prescrivant l'ouverture du code source des logiciels à autrui en opposition aux logiciels dits propriétaires,« cherchent à généraliser les principes du hacking et à casser la dichotomie entre l’ingénieur et l’usager, écho de la séparation entre producteurs et consommateurs8». L’open source se distingue du mouvement social libriste par sa tendance manageriale, perçue comme une « méthodologie de développement » où : « l’excellence technologique est appréhendée comme le levier permettant de convaincre les entreprises et les particuliers de venir au logiciel libre 9». En revendiquant l’open source, le low-tech Lab préfère : « rendre la low-tech compatible avec l’écosystème industriel et institutionnel existant pour profiter d’une diffusion massive » plutôt que de « porter une vision politique de la low-tech où les savoirs techniques se socialisent et se diffusent “par le bas”10 ».

Rappelons que le low-tech lab est né de Corentin De Chatelperron jeune ingénieur blanc, issu d’une famille bourgeoise et membre de la société des explorateurs français, qui travaillant sur des projets de « développement » au bengladesh décide de mener une expédition de 6 mois vers les îles « désertes » du golfe du bengal échouant sa quête d’autonomie en mer. Il tend vers une autonomie individuelle versant vers le « mythe libéral de la délivrance » par l’usage de « produits low-tech prêts à l’emploi » permettant de « se délivrer des contingences matérielles et sociales », par ailleurs lié à un idéal masculin blanc « qui renie sa propre vulnérabilité pour se donner les moyens d’agir »11. Il souhaite « booster l’innovation » par la low-tech pour que n’importe qui dans le monde puisse choisir parmi un panorama de techniques et en « fonction de leurs ressources et de leur vision du progrès » Le wiki du low-tech lab utilise l’open source pour « Cosmo-localiser » la production des low tech, en : « partageant les technologies au niveau global pour les stimuler au niveau local ». Or les solutions locales dépendent de ressources, de conditions matérielles et environnementales particulières (réaliser un frigo du désert à Bruxelles nécessite d’acheter du sable pour aquarium, les bâches geotextile ne sont pas disponibles au Togo etc). Cette volonté de forker des « solutions low-tech » fait à face à la complexité et à la diversité des contraintes aux quelles elles sont supposées répondre. La majorité des tutoriels présentés par low-tech Lab sont issus du programme Nomades en mer, qui « explore » le monde à bord d’un voilier afin de recenser sur la plateforme les différentes solutions low-tech rencontrées. Les savoirs expérientiels des usagers sont ainsi décontextualisés, réappropriés et étiquetés « low-tech », avant d’être diffusé sur la plateforme sous licence Creative Commons. Je reste sceptique quant à ce geste de collecte et de publication qui pourrait se rapprocher d’une forme d’extractivisme des savoirs  :

« processus par lequel (…) [des] savoirs expérientiels sont décontextualisés des écosystèmes complexes dans lesquels ils sont énoncés et élaborés, pour être mis en forme et incorporés dans d’autres contextes où ils sont mobilisés au service de finalités éloignées, voire contraires à celles qui président à leur énonciation et leurs contextes de production 12». Longtemps dévalorisés, au détriment du développement de la science et de l’idéologie du progrès, les pratiques populaires européennes et savoirs-faire des pays colonisés regagnent l’intérêt des ingénieur·es occidentaux qui constatent que notre mode de vie capitalo-centré pose quelques soucis.

« La crise écologique et l’Anthropocène seraient-ils les nouvelles expressions du « fardeau de l’homme Blanc » à sauver « l’Humanité » d’elle-même ?13 » Cette question de l’extractivisme souligne également « l’approche universaliste de l’ouverture » des licences libres pouvant conduire à « l’appropriation de connaissances marginalisées », sans prêter attention à « la complexité et à [la] porosité des pratiques de connaissance et de leur circulation ni [aux] structures de pouvoir qui s’exercent autour d’elles ».

Étape 5 : Socialiser la technique ?

Ce wiki donne à voir une compréhension étroite de la technique qui se voit réduite par le site* et la forme du tutoriel à une suite d’opérations matérielles documentables, diffusables et reproductibles. Or s’intéresser au wiki du low-tech lab comme aux objets dits low-tech, c’est lire dans la technique des agencements de matériel, de social et de discours. Ne pas prêter attention à ces dimensions peut conduire à décontextualiser, s’approprier et valoriser (ajouter de la valeur dans une économie capitaliste) des systèmes non locaux en omettant les particularités situées de perception et d’utilisation des techniques ; la pluralité de manières de percevoir la matière au sein d’une technique, de composer avec les forces, les matériaux, et les gestes, rompant avec la dualité moderne entre personne et choses. Ce déplacement de contexte affirme la nécessité de s’intéresser à la construction mutuelle des systèmes techniques et des systèmes de valeurs partagées collectivement dans l’action technique[^14]. Le dispositif de ce wiki traduit une logique open source coopérative plus que collaborative, exposant une recherche d’autonomie individuelle. Marie, contributrice, souhaiterait que les tutoriels servent à comprendre la technique plutôt qu’à réaliser un objet singulier, affirmant ainsi que c’est l’acquisition des compétences et connaissances « de base » qui permet de s’autonomiser, individuellement et collectivement. Ce sont donc les conditions de réception et de réalisation du tutoriel qu’il s’agirait d’étudier.

Notes et références

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Stassin, B. (2021). Wiki Trans : Une communauté de savoir sur la transidentité. Communication, technologies et développement, 9, Article 9. https://doi.org/10.4000/ctd.3723

Commentaires


  1. Stassin, B. (2021). Wiki Trans : Une communauté de savoir sur la transidentité. Communication, technologies et développement, 9, Article 9. https://doi.org/10.4000/ctd.3723. p2 

  2. Dameron, S., & Josserand, E. (2007). Le développement d’une communauté de pratique. Une analyse relationnelle. Revue française de gestion, 33(174), 131‑148. https://doi.org/10.3166/rfg.174.131-148. p132 

  3. Roussilhe, G., & Mateus, Q. (2023). Perspectives low-tech (Divergences). p75 

  4. Grimaud, E., Tastevin, Y. P., & Vidal, D. (2017). Low tech, high tech, wild tech. Réinventer la technologie ? Techniques & Culture. Revue semestrielle d’anthropologie des techniques, 67, Article 67. https://doi.org/10.4000/tc.8464 

  5. Stassin, B. (2021). Wiki Trans : Une communauté de savoir sur la transidentité. Communication, technologies et développement, 9, Article 9. https://doi.org/10.4000/ctd.3723. p14 

  6. Meyer, M. (2022). Expérimenter et rendre désirables les low tech. Une pragmatique de la documentation. Réseaux, 235(5), 219‑249. https://doi.org/10.3917/res.235.0219 p240 

  7. Broca, S. (2018). Utopie du logiciel libre : Du bricolage informatique à la réinvention sociale. Passager clandestin. p203 

  8. Ibid., 221 

  9. Ibid., 92 

  10. Roussilhe, G., & Mateus, Q. (2023). Perspectives low-tech (Divergences). p143 

  11. Ibid., 113 

  12. Ibid., 92 

  13. Ferdinand, M. (2019). Une écologie décoloniale : Penser l’écologie depuis le monde caribéen. Éditions du Seuil. p27